BACKWARDS INTO THE FUTURE
EXPOSITION DE SÊMA LAO
Du 08 au 31 janvier
Exposition visible
du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 19h
les samedis de 10h à 12h et de 14h à 19h
Vernissage le jeudi 11 janvier à 18h30
Le Centre Culturel présente en ce début d’année les œuvres d’une artiste de renommée internationale. Sêma Lao a en effet signé de son art les murs de plusieurs villes (Londres, Paris, Glasgow, Limoges, La Rochelle, Cherbourg, Castellonorato, Nantes…) et exposé ses toiles dans de nombreux lieux.
Nous vous invitons à découvrir ses peintures d’une rare expressivité au style singulier qui utilisent toutes les palettes de couleurs sans aucune fausse note.
Des portraits tout simplement sublimes où le regard capté est alors transporté par la prouesse technique et émotionnelle qui se dégagent de l’œuvre.
Une artiste coup de cœur, hors du commun aux multiples facettes qui peint avec justesse et force des portraits émouvants et sensibles.
L'artiste
Artiste peintre autodidacte d’origine sino-allemande, Sêma Lao réside à Limoges. Au fil des années, son chemin a été ponctué de découvertes plastiques et techniques. De multiples rencontres surtout, qui lui ont permis d’acquérir de la maturité et d’avancer.
Ses œuvres représentent généralement des portraits, des visages aux expressions sincères et spontanées que l’artiste tente de retransmettre à travers une palette de couleurs saturées et de coulures maîtrisées. Elle travaille ses innombrables couleurs selon la lumière, lui permettant ainsi de "sculpter" ses portraits à la bombe aérosol et à l’acrylique.
Étant particulièrement sensible au thème de l’enfance, ses portraits d’enfants symbolisent l’innocence. Cette innocence qui précède l’âge de raison, cette insouciance, ou inconscience diraient certains, qui nourrit l’espoir, nous préserve des réalités et des soucis, des images violentes du quotidien, nous permettant alors d’affronter ce monde avant de plonger dans la grande désillusion. C’est cette sensibilité brute et spontanée de l’être, humain ou animal, qui transparaît dans le regard, que l’artiste tente de saisir, car comme disait Kant, « le malheur est que l’innocence sache si peu se préserver et se laisse si facilement séduire… »